1 / 9
Aspect - Betula papyrifera
2 / 9
Autres - Betula papyrifera
3 / 9
Bourgeons - Betula papyrifera
4 / 9
Ecorce - Betula papyrifera
5 / 9
Feuilles - Betula papyrifera
6 / 9
Fleurs - Betula papyrifera
7 / 9
Maladie - Betula papyrifera
8 / 9
Pousses - Betula papyrifera
9 / 9
Usage - Betula papyrifera

Betula papyrifera

  • Arbre à port ouvert au tronc court, garni d'une cime large et irrégulière formée de grosses branches ascendantes. Feuillage léger, vert tirant au jaune à l'automne. Au printemps, fleurs en chatons suivies à la fin de l'été par des fruits pendants en forme de cônes. Racines latérales grossières, profondes et peu nombreuses. Croissance moyenne. La présence de bouleaux dans un aménagement de conifères produit toujours un contraste intéressant.

Autres informations
  • association dans les plates-bandes, groupe, isolé, naturalisation

  • Port plutôt pyramidal quand il est jeune. Il devient large, arrondi et irrégulier, avec l'âge.

  • Le tronc est simple ou multiple, suivant le cas. L'écorce blanche à maturité s'enlève en feuilles horizontales.

  • Les branches ascendantes portent des rameaux légèrement pendants, rougeâtres au dévut de la croissance.

  • Les feuilles sont caduques, entières, ovales, dentées, vertes, puis jaune à l'automne.

  • Fruits pendants en forme de cônes à la fin de l'été.

  • Fleurs en chatons au printemps.

  • Les racines latérales grossières, profondes et peu nombreuses font que la transplantation est difficile.

  • Le bouleau blanc vient dans des lieux très variés, particulièrement dans les peuplements purs après un grand dérangement. Il aime particulièrement les plaines et les plateaux humides, fertiles et bien drainés.

  • Le bouleau blanc ou bouleau à papier se reconnaît particulièrement à son écorce mince d'un blanc crémeux et à ses fins rameaux symétriques.

  • Résiste aux cerfs de Virginie.

  • Sensible à la pollution. Dans des sols lourds et légèrement calcaires, il est souvent sujet à l'attaque d'insectes et de maladies.

  • Son pollen est allergène. La taille est uniquement utilisée pour la formation et pour le nettoyage. Le bouleau est une essence pionnière qui a besoin d'énormément de lumière. On le retrouve en grand nombre sur les sites ouverts et perturbés : après un incendie de forêt, une coupe à blanc, un défrichement, etc. Sa durée de vie, relativement courte, est de 100 à 150 ans. Parfaitement rustique, le bouleau à papier supporte mal les conditions urbaines. Il faut en effet veiller à lui donner tout l'espace nécessaire à son développement latéral. Terres sablonneuses, légèrement acides, lui sont favorables, mais il peut aussi croître dans des sols plus lourds et légèrement calcaires.

  • Le bouleau blanc tient lieu d'aliment, de couverture et de site de nidification au pic maculé, au pic mineur et à la mésange à tête noire. Au moins dix autres espèces d'oiseaux se nourrissent de ses graines.